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Etudiants, stagiaires, parents, tuteurs, entreprises, retrouvez ici toutes les actualités et les temps forts du BTS Métiers de l'Audiovisuel du Velay.

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Congratulations EPS#3

Dans l’intimité du chant à capella et de l’accompagnement discret à la guitare, du tambour et du hochet, LORENZA est venue interpréter, le 11 mars dernier dans le cadre de l’épreuve professionnelle du BTS Métiers de l’Audiovisuel, les traditions orales amérindiennes séculaires transmises par la communauté navajo d’Arizona. Respectueuse des chants sacrés navajo, elle a aussi créé son propre univers musical. Elle chante un monde harmonieux où la pensée et la matière sont intimement liées et où disparaît la dualité de l’existence et où la vie s’ancre en terre tel l’arbre de vie qui étend ses arbres au ciel.

Accompagnée de KAVE DUST, un amérindien de la Tribu des Crows, un échange complice avec les étudiants s’est installé autour de contes et légendes avant l’enregistrement en public de l’émission musicale dans les conditions du direct.

Un moment inoubliable pour grand nombre d’entre nous !… Et un défi relevé pour le Groupe 3 ! Merci à eux.

Chanteuse auteur-compositeur en quête perpétuelle d’inspiration créatrice, LORENZA a rencontré les Navajos il y a vingt-cinq ans. Après l’avoir longuement initiée à leur spiritualité et à leur culture, les chefs de la communauté navajo d’Arizona lui ont permis d’interpréter les chants traditionnels issus de siècles de transmission.

LORENZA vit aujourd’hui entre l’Amérique et la France. Après avoir œuvré pendant des années comme représentante officielle du peuple navajo auprès de l’UNESCO, elle dirige actuellement l’association Navajo-France qui met en place, depuis dix ans, des échanges culturels entre l’Europe et l’Arizona et des conférences au Musée du Quai Branly. Artiste peintre par ailleurs, elle s’est formée aux peintures de sable qui ont, chez les Indiens navajo, une fonction thérapeutique. Elle prépare actuellement un film documentaire sur la communauté où elle vit en Arizona.

Album « La Beauty », 20€ – contact pour achat : navajofrance@hotmail.com


Post-bac : les futurs étudiants ont une prEfErence pour l'audiovisuel

Ce samedi 31 janvier au matin, les lycées ponots Simone Weil et Charles et Adrien Dupuy ainsi que le Greta du Velay ont ouvert leurs portes pour présenter les formations post-bac.

Un BTS populaire
Pami toutes formations proposées par le Greta, c'est le BTS (brevet de technicien supérieur) audiovisuel qui séduit les futures bacheliers. "Sur tous les visiteurs reçus aujourd'hui, près de 80% viennent pour ce BTS " expliquent les responsables. Cinq options sont dispensées au Puy : métier de l'image, métier du son, techniques d'ingénérie et exploitation des équipements, montage et postproduction et gestion de production. Chacune d'elles demande un profil particulier mais comme l'explique Denis Aboulin : " On fait du cas par cas. " Avec près de 400 candidatures par an, le Greta n'en retient que 50 avec une rentrée en septembre et une autre en janvier.

Être ambitieux
Le BTS peut se faire en formation continue, en apprentissage ou en contrat de professionnalisation. Pour ce qui est de l'alternance, il suffit de trouver une entreprise pour être accepté. Denis Aboulin, responsable du BTS, explique comment trouver une entreprise : " N'ayez pas peur de viser haut, demander aux grandes boîtes de production, aux grandes chaînes... ". Certains étudiants ont réussi à trouver des places à TF1, Canal +... De quoi faire rêver les futurs étudiants.

Profils différents mais beaucoup de motivation
Samuel, 18 ans est venu spécialement de l'Ain : " J'aimerai faire l'option métier de l'image parce que c'est de la crétion et de la technique ". Il prépare son bac Scientifique, un des baccalauréats recommandé pour l'option puisqu'un bon niveau en physique est demandé. Maxence, un Strasbourgeois de 23 ans, a son bac Economique et social en poche depuis trois ans mais il peine à trouver une entreprise : " J'aimerai faire ce BTS en apprentissage. Depuis mon bac, je n'ai pas trouvé d'entreprise donc je suis parti à la fac mais je continue à chercher. " Il conclut avec optimisme : " Je suis motivé, je vais finir par y arriver ".


En prévision du congrès régional des urgentistes qui se tiendra au Puy-en-Velay, le 1er décembre

Un exercice grandeur nature programmé sur un parking de l’hôpital au Puy-en-Velay, a permis à une équipe d’étudiants en BTS Audiovisuel de réaliser un film.

Tourné dans des conditions proches du reportage, ce film portait sur l'intervention des sapeurs-pompiers lors d'accidents sur la base de scénarios différents. L'intervention des sapeurs-pompiers, mais surtout, des médecins urgentistes du SAMU, permettait de présenter trois façons différentes d'intervenir. L'ensemble sera regroupé au sein d'un film de 15 minutes. Celui-ci sera projeté lors du congrès régional des médecins urgentistes du CAMU (collège auvergnat de médecine d'urgence) qui se tiendra, pour la première fois depuis 13 ans, au Puy-en-Velay, le 1 er décembre prochain à l'Hôtel du département. Un congrès qui rassemble chaque année entre 100 et 150 professionnels de la médecine d'urgence : médecins, infirmiers, secrétaires, assistances sociales…

Trois scénarios différents
« La diffusion de ce film, en ouverture du congrès, va permettre d'amorcer une discussion sur les victimes polytraumatisées de la route avec un pronostic vital engagé », explique le docteur Ghislain Soliveau de l'hôpital Émile Roux, qui a participé à la coordination de cette manoeuvre.

L'exercice grandeur nature a été mis en place à l'initiative du docteur Xavier Poble, médecin urgentiste. Avec le soutien du SDIS (service départemental d'incendie et de secours), les sapeurs-pompiers du centre de secours du Puy-en-Velay ont amené trois épaves et leur matériel de secours (un véhicule de secours routiers et une ambulance) pour mener à bien les exercices de désincarcération avant que les médecins du SAMU ne prennent le relais. L'objectif étant de présenter ces trois accidents distincts avec à chaque fois la prise en charge d'une victime par les pompiers et les médecins.

« Coordonner nos gestes »
« Ces prises en charges différentes ne sont ni bonnes ni mauvaises. Car tout est discutable avec des choses bien et d'autres à améliorer. L'exercice visait à débattre ensuite de tout cela, de discuter entre nous dans la façon de coordonner nos gestes », explique le docteur Poble du SAMU 43. Un débriefing « à froid » de cet exercice est programmé en janvier prochain.


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